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Engagé dans la Course à la mer, l’attaque du village d’Herleville, fortement tenu par l’ennemi, est déclenchée le 24 septembre. Chantant la Marseillaise, le 30ème RI se porte à l’assaut, entrainé par les clairons sonnant la charge. Les cruelles pertes n’arrêtent pas l’élan des assaillants. Un dur combat s’engage. Les Allemands, abrités derrière les murs de clôture des jardins, résistent par le feu d’une manière extraordinairement violente et le combat se terminera victorieusement laissant sur le champ de bataille, Jules Joseph Paviot et près de 850 hommes.
N’ayant plus de nouvelle depuis un mois, ses parents en demandent à l’Armée. Une réponse du Capitaine du régiment leur annonce le décès de leur fils. Plus d’un an après, en janvier 1916, ils reçoivent un avis de disparition. La déclaration officielle du décès constant de Jules Paviot est officialisée le 8 juillet 1920. Soldat courageux et dévoué, belle attitude au feu. Tombé glorieusement, le 25 septembre 1914 à Herleville. Croix de Guerre avec étoile de bronze (JO 7/7/1922)
Les parents de Georges Couturier ont tous deux un frère mort pour la France. (voir Couturier Pierre Jean Marie)
ICI REPOSENT
Joseph PAVIOT – 1863-1930
Antoinette DURAND, Épouse PAVIOT – 1870-1961
Michel PAVIOT – 1892-1971
Anne-Marie PAVIOT, épouse DUMAS – 1908-1976
Auguste DUMAS – 1910-1995
Georges COUTURIER – 1930-2020
A la mémoire de Jules PAVIOT, Mort pour la France le 25 septembre 1914
La palme est un attribut des martyrs, les premiers chrétiens mais également les victimes de causes justes ou de conflits armés. La palme décore régulièrement la tombe d’anciens combattants ou les monuments aux morts. Attribut lié à la victoire, aux honneurs; la palme peut aussi orner la sépulture de personnalités politiques, artistiques, scientifiques…La palme peut être présente sur la sépulture du jeune qui comme nombre de martyrs, sont décédés en pleine force de l’âge.
La vierge à l’enfant, ou Madone est un thème récurrent en peinture et en sculpture religieuses, renvoyant à la Nativité du Christ et à la maternité de la Vierge Marie.
Il sera plus généralement représenté sur la tombe d’un nourrisson ou d’un enfant décédé en bas âge. Il transfigure le petit défunt. LA représentation peut se limiter à une tête doublement ailée.
Messager de Dieu, il est l’exécuteur de la volonté divine. Les bras étendus et les ailes déployées, l’ange protège les défunts. Il est parfois représenté comme déposant des fleurs sur la tombe, en signe d’amour. En fonction de son faciès, il exprime le chagrin lié à la disparition de l’être cher. Porteur d’une trompe, l’ange est annonciateur du Jugement dernier et la Résurrection. Les anges sont des puissances invisibles et immatérielles qui correspondent à la pureté dans l’échelle des valeurs humaines.
Ces deux symboles se ressemblent beaucoup :
Le rameau d’olivier représente la paix. Il est souvent associé à une colombe.
La palme rappelle la mort : on plaçait des palmes sur les cercueils.
Symbole du bonheur et de la persévérance en amour, le tournesol est la fleur de l’être solaire, de gaieté et de vivacité.
Celui qui donne la fleur veut suivre, restez avec l’être cher pendant un moment important de son existence.
Le tournesol peut également exprimer un profond sentiment d’admiration, de respect et de gratitude.
Dans les cultures orientales, le tournesol prend souvent le sens de longévité et même d’immortalité, probablement parce que comparé à d’autres fleurs, une fois coupé, le tournesol se conserve plusieurs jours avant de se dessécher.
Le tournesol est porteur de lumière, on peut l’associer à la naissance d’une nouvelle vie.
Dans l’Antiquité, la rose était vénérée, considérée comme un cadeau des dieux. Grecs et Romains voyaient en elle le symbole du printemps et de la fragilité du monde. Ils associent cette fleur à la déesse Vénus ou Aphrodite, déesse de l’Amour. Cette plante était souvent associée aux fêtes joyeuses et était offerte aux soldats vainqueurs.
Une légende raconte que Marc Antoine et Cléopâtre ont vécu leur première nuit d’amour sur un lit de pétales de roses et que Cléopâtre a accueilli son bien-aimé dans une chambre remplie de pétales de roses jusqu’aux genoux.
Les cérémonies religieuses ont aussi utilisé la rose comme un symbole de pudeur, sa douceur honorait les morts et rendait hommage aux défunts.
La religion chrétienne utilise beaucoup le symbole de la rose. Elle représente à la fois la Vierge Marie, le sang du Christ et l’expression du martyre.
Le Moyen-Age a de nouveau lié la rose à l’amour notamment à travers sa poésie. Elle est alors symbole de la fragilité de la vie, de la perfection, elle devient aussi la personnification de l’être aimé.
Le myosotis est souvent associé à la séparation, au souvenir et à l’absence. Dans la croyance chrétienne, cette fleur représente le Paradis et le Salut de l’âme.
Un cénotaphe — du grec ancien kenós (« vide ») et táphos (« tombeau ») — est un monument funéraire qui ne contient pas de corps, élevé à la mémoire d’une personne ou d’un groupe de personnes, et dont la forme ou l’ornementation rappelle un tombeau. Le monument aux morts est ainsi le plus souvent un cénotaphe. Il peut s’agir également d’une tombe réelle, mais où le corps du défunt ne repose plus pour telle ou telle raison.
La flamme suggère la vie. Contenue dans un flambeau retourné, elle va inexorablement s’éteindre par le manque d’oxygène; ces symboles suggèrent dès lors la mort. Ils peuvent aussi représenter l’espoir dans la Résurrection, car le flambeau remis dans sa position normale, la flamme rejaillira.
Le flambeau représente l’enveloppe corporelle humaine, et la flamme, l’âme qui s’échappe lors du décès. Il peut aussi représenter la flamme qui guide l’âme dans les ténèbres.
Dans certaines régions, le flambeau retourné est indicatif de la sépulture du libre penseur.
Dans le secteur funéraire, on désigne par « pierre » une roche essentiellement calcaire et à haute densité. La France comptait des carrières et bassins d’extraction dédiés aux roches ornementales et de construction. Les carrières calcaires françaises sont ainsi nombreuses en Bourgogne et autour du Massif central.
Elle dispose d’une plus grande diversité de couleurs : rose, grise ou blanche…
La main est avant tout le premier outil de l’humain et également un moyen de communication. Les mains sont le reflet de notre caractère, de notre histoire, de notre vie. La main est la synthèse du masculin et du féminin. Car elle peut contenir ou pénétrer, elle est active ou passive.
Dans l’art figuratif, les postures impliquant les mains sont innombrables et peuvent être interprétés de différentes manières.
Comme elle voit dans l’obscurité, c’est le symbole de la foi, mais aussi des ténèbres, de la tristesse et de la solitude.
En Grèce antique, la chouette chevêche est le symbole de la déesse Athéna, la déesse de l’intelligence, de la prudence, de la sensibilité artistique.
Elle peut symboliser les païens qui ont vécu dans les ténèbres de la nuit avant la naissance du Christ, « lumière du monde ». C’est pourquoi elle accompagne souvent l’homme en voie de conversion comme pour l’engager à la persévérance.
Au Moyen Âge, on voit en elle le démon car on en a peur. A cette époque où la croyance aux fantômes est vive, la chouette, notamment la chouette effraie ou Dame Blanche, est associée aux fantômes et à la sorcellerie, mais aussi au mystère et à une forme de perspicacité, d’intelligence.
En Chine, elle est considérée comme un oiseau sacré, terrifiant, figure de la foudre. C’est l’emblème des forgerons. Elle est consacrée aux solstices d’hiver et d’été, à la renaissance et au triomphe de la lumière.
La palette de peintre permet de rendre hommage à la personne décédée, artiste-peintre, décorateur.
L’étoile qui brille dans la nuit noire est le symbole de la lutte entre la lumière et les ténèbres, l’image de la lumière spirituelle chassant l’obscurité. Elle annonce la fin des conflits, l’espoir puissant du phare qui guide le navire dans la nuit.
Selon le nombre de branches qui la forment, l’étoile accentuera l’espoir né du nombre. On les imagine comme lieu de repos des âmes mortelles, portant aussi le double de toute personne vivant sur terre.
Une étoile peut symboliser une divinité. le mouvement des étoiles et de tout l’univers céleste étant censé dépendre de lui.
5 branches : pentagramme principalement utilisé en ésotérisme et en magie. Dans la symbolique chrétienne elle représente les cinq plaies du Christ.
6 branches : un hexagramme, deux triangles équilatéraux inversés superposés. C’est l’étoile de David, symbole des juifs et du judaïsme. Elle figure dans le drapeau d’Israël.
7 branches : heptagramme utilisé dans plusieurs traditions religieuses et occultes, elle symbolise de la perfection divine.
Pour les chrétiens, elle représente les sept jours de la création, et est devenu un symbole permettant de repousser le Mal.
8 branches : octogramme utilisé par la plupart des civilisations comme symbole astral.
9 branches : ennéagramme symbole de la Foi bahá’íe (religion d’origine Perse). Le chiffre 9 symbolise la perfection et l’accomplissement.
10 branches : décagramme utilisé dans l’art décoratif.
11 branches : hendécagramme qui se retrouve dans la forme du fort bâti sur Liberty Island (île de la Statue de la Liberté).
12 branches : dodécagramme qui se retrouve sur le drapeau de Nauru (pour les douze tribus originelles).
14 branches : tétradecagramme qui se retrouve (accompagné d’un croissant) sur le drapeau de la Malaisie.
16 branches : héxadecagramme, appelé étoile ou soleil de Vergina et présent sur le drapeau de la Macédoine (de 1992 à 1995).
Le « Saint Calice » (Saint Graal) désigne la coupe utilisée par Jésus-Christ et ses douze disciples au cours de la Cène, repas qu’ils font pour commémorer ensemble la Pâque juive, à la veille du jour où Jésus va être livré aux Romains pour être crucifié. Ses significations sont multiples.
Le calice représente le principe créateur et, en général, tout ce qui est lié à la vie : guérison, naissance et régénération.
La bruyère est symbole de force, solidité du sentiment amoureux.
Le lierre est à la fois symbole d’éternité et d’attachement. Comme tous les végétaux au feuillage persistant, il représente l’éternité ou l’immortalité. Quant aux autres plantes ayant une croissance liée aux saisons, elles sont rattachées à la vie avec ses grandes étapes : la naissance, la croissance, la maturité et la mort. Le lierre suggère également l’attachement par la manière dont ses racines crampons se fixent au support indispensable à son développement.Bon nombre de représentations font épouser au lierre la forme du cercle, engendrant une redondance entre la matière et la forme épousée.Le lierre peut pousser au pied de la croix, la vie reprenant le dessus sur la mort. On le retrouve aussi sur des rocailles ou formant une couronne telle celle d’acacia ou d’épines qui ceignait la tête du Christ.
La pierre de lave noire utilisée pour le monument funéraire de Créteil provient du Massif Central. Appelée couramment la Pierre de Volvic, elle fut très utilisée dans les environs de Clermont-Ferrand, notamment pour la construction de la Cathédrale de cette ville au XIIIe siècle. On peut trouver dans la nature sombre de cette roche volcanique, une façon d’exprimer la douleur ressentie suite au décès. Elle exprime le deuil.
De par sa texture, sa dureté et sa forte inertie aux variations de température, cette roche qui protège l’eau du même nom, se prête admirablement à la taille en grande dimension.
Seules trois tombes en pierre de Volvic sont présentes dans le cimetière de Vénissieux. C’est une particularité que l’on retrouve peu dans les cimetières du département.
La pierre de Villebois est un calcaire fin, compact, peu fossilifère et se décline de différentes nuances de gris. Les bancs élémentaires de la pierre de Villebois sont épais de 10 à 20 cm.
Cette pierre naturelle est très dure. Elle est décrite comme étant « d’excellente qualité » et est massivement utilisée dans les constructions.
Non poreuse, non gélive et résistante à la chaleur, ce calcaire marbrier a aussi l’avantage de pouvoir prendre un grand nombre de finitions allant du brut de sciage au poli brillant.
Dès le début de la guerre, le besoin se fait sentir de créer une récompense pour les combattants les plus vaillants, matérialisant les citations à l’ordre du jour notées dans les états de service et les livrets militaires. La création de la Croix de Guerre est ainsi votée en avril 1915. Suivant la citation, son ruban peut s’orner d’une ou plusieurs étoiles de bronze, d’argent ou de vermeil ou encore de palme(s) de bronze ou d’argent. Le ruban le plus chargé fut celui de René Fonck, aviateur, avec 28 palmes et une étoile! La Croix de Guerre n’est pas seulement décernée aux combattants: des aumôniers, des infirmiers, des civils et même des animaux l’ont reçue, ainsi que des communes ou des institutions.
Roi de la forêt, le chêne est l’arbre de la vie en Occident. Etêté, il est le symbole d’une mort précoce.
Le coq gaulois représente le courage et la fierté, c’est un animal de combat. Il est aussi un symbole chrétien qui annonce le lever du jour, la résurrection. Le coq gaulois symbolise la Gaule, la nation, le patriotisme.
Les monuments funéraires en granit Labrador Bleu possèdent de nombreuses qualités telles que leur robustesse et leur esthétique parfaitement assumée. En fonction de la teinte du granit Labrador Bleu choisie, la pierre tombale dégagera quelque chose de différent. Entre Labrador Bleu plus clair ou plus foncé, cela dépendra des goûts et des envies de chacun.
Le sablier évoque le passage inexorable du temps; chaque grain de sable pouvant représenter un jour de notre vie. Le sablier comporte régulièrement des ailes de colombe ou d’ange, tous deux messagers de Dieu, comme si l’instrument de la mesure du temps devenait, avec le décès, l’âme que la colombe ou l’ange va acheminer au ciel. Par son côté réversible, le sablier évoque la faculté d’une nouvelle vie ou de la vraie vie, selon les convictions de chacun, si on retourne cet instrument de la mesure du temps. Les deux compartiments peuvent représenter le ciel et la terre.
La pierre et le nom Comblanchien viennent de la commune de Comblanchien en Côte d’or (21) à 12 kilomètres au nord de Beaune. Il s’agit d’une des pierres de Bourgogne les plus iconiques avec le Corton ou le Massangis. Elle est reconnue pour son grain particulièrement fin et sa dureté qui la rendent idéale pour de nombreux usages (dallage, escalier, gravures, plans de cuisine…).
Les bornes et la chaîne qui les relie délimitent l’espace sacré de la sépulture et le sépare du domaine profane.
L’urne représente l’enveloppe corporelle du défunt qui détient l’âme et symbolise l’immortalité. Le tissu drapant l’urne garde symboliquement les cendres. L’urne drapée linceul est considéré par certains comme signifiant que l’âme a quitté le corps enveloppé pour son voyage vers le ciel. D’autres disent au contraire que la famille souhaite garder l’âme proche d’elle et pour ne pas la voir partir, la drape.
La flamme évoque la vie, la transfiguration de l’âme qui quitte le corps après la mort, mais également le souvenir vivace et la transmission, c’est pourquoi une flamme perpétuelle brûle au-dessus de la tombe du soldat inconnu. Elle peut aussi
représenter la pensée qui permet d’orienter la marche dans les ténèbres. Elle se retrouve dès lors sur la tombe de libres penseurs qui assimile les ténèbres aux dogmes et à l’obscurantisme.
La couronne est symbole d’éternité par le cercle qu’elle épouse, forme sans début ni fin.
Le chrisme est un symbole chrétien datant du christianisme primitif. Il est formé des deux lettres grecques Ι (iota) et Χ (khi), des initiales de Ἰησοῦς Χριστός (Jésus-Christ), puis des deux lettres grecques Χ (khi) et Ρ (rhô), des deux premières lettres du mot Χριστός (« Christ »).
Psaume récité ou chanté dans les prières pour les morts.
Formée de cinq pétales, la pensée évoque l’homme avec la tête et les quatre membres. Elle orne aussi bien les tombes de chrétiens et de libres penseurs.
Les initiales IHS ou, plus rarement, JSH, qui peuvent être entrecroisées, traduites en français, signifient, Jésus Hominum Salvator : Jésus sauveur des hommes.
La tombe d’un médecin ou d’un pharmacien est souvent estampillée d’un bâton d’Esculape, c’est-à-dire d’un serpent s’enroulant le long d’un morceau de bois.
La feuille d’acanthe décore régulièrement les sépultures des architectes et des artistes au XIXe siècle ; ses piquants évoqueraient les épreuves et les affres de la vie.
La colonne est la vie. Elle constitue une forme particulière de l’arbre de vie, trait d’union entre la terre et le ciel. Brisée, elle évoque la mort prématurée d’un jeune homme ou d’un homme en pleine force de l’âge.
l’obélisque évoque le décès prématuré d’une femme ou d’un homme.
La lettre grecque « alpha » symbolise la naissance ;
« l’oméga » est la lettre de la fin, donc de la mort.
La carotte de pin ou la pomme de pin apparaît après la floraison (la maturité, l’âge adulte), à l’automne (la vieillesse et l’annonce de la mort) mais suggère surtout le printemps et la promesse d’une nouvelle naissance, la renaissance.Elles sont aussi une allusion plus ou moins explicite au sexe masculin et à la conception. (Vigueur et fécondité)
Le cœur symbolise la charité et la foi dans les valeurs théologales.
C’est le symbole du Cœur de Jésus, vrai Dieu et vrai Homme. Le Cœur du Christ, transpercé sur la Croix, brûle d’un amour infini pour Dieu son Père, et de l’amour infini de Dieu pour les hommes, qui est comparé à un feu.
Acrotère, socle soutenant un ornement qui est posé au sommet ou aux extrémités d’un fronton.
La croix est un symbole bien antérieur à l’époque du Christ et des traces ont été découvertes en Extrême-Orient, Afrique, Europe…
Elle est une forme particulière de l’arbre de vie. Comme lui, la croix plante sa base dans le sol et s’élance vers le ciel. Elle est donc un lien entre la Terre, le monde des humains, et l’univers céleste, de Dieu, des dieux. La croix est constituée d’un montant et d’une traverse qui suggèrent les quatre points cardinaux et, ainsi, la notion d’universalité. La croix devenue hampe de bannière est appelée croix de la résurrection ; c’est celle que le Christ aurait tenue en main, sortant du tombeau après son ensevelissement.
Cette représentation exprime La Résurrection et la victoire de la vie sur la mort.
Croix ancrée dont les extrémités se terminent par des ancres, symbole d’attachement ou croix liliforme avec les extrémités en forme de fleur.